Le Théorème de Pythagore
Le Théorème de Pythagore : pourquoi on l’a appris à l’école et pourquoi on ne s’en sert jamais ?
Le théorème de Pythagore ! Ce bon vieux souvenir de classe, ce triangle maudit qui a hanté les tableaux noirs de nos écoles et fait suer des générations d’élèves. Une formule simple, mais qui a réussi à nous faire douter de notre propre intelligence : a² + b² = c². Oui, Pythagore, merci pour cette équation qui nous a donné envie de pleurer et qui, soyons honnêtes, n’a jamais été utilisée dans la vraie vie… ou presque.
Le Théorème de Pythagore : parce qu’apparemment, les Grecs s’ennuyaient
Revenons à l’origine. Pythagore, ce bon vieux philosophe grec qui a vécu au 6ème siècle avant J.-C., avait visiblement beaucoup de temps libre. Au lieu de profiter de la Méditerranée ou de regarder des séries « Grecflix » (sûrement l’ancêtre de Netflix), ce mec passait ses journées à observer des triangles rectangles. Un jour, il a eu cette révélation : “Hé, si je prenais les côtés d’un triangle et que je les mettais au carré ?” Boom, le théorème de Pythagore était né. Et comme tous les vieux sages, il a décidé de nous le refiler pour l’éternité, histoire de laisser sa marque (et nous embêter au passage).
Pourquoi on l’a appris et pourquoi on ne l’utilise jamais (ou presque)
Avouons-le : à moins d’être un architecte ou un ingénieur, rares sont ceux qui ont besoin de savoir que le carré de l’hypoténuse est égal à la somme des carrés des deux autres côtés. Mais dans certains métiers, Pythagore est le roi des calculs : pour vérifier que votre mur est bien droit ou pour concevoir le design futuriste d’un immeuble, ce théorème est encore aujourd’hui le chouchou des pros du bâtiment et des geeks des mathématiques. Pour le reste d’entre nous ? Eh bien… c’est comme le tricot : sympa à apprendre (ou pas), mais rarement utile quand il s’agit de payer ses factures.
Le Théorème de Pythagore expliqué pour ceux qui n’ont jamais rien compris (on vous voit)
Alors, je vais faire simple. Imaginez que vous avez un carré de chocolat (oui, je reste dans le concret). Vous coupez ce carré en deux pour le partager. La coupure, c’est l’hypoténuse. Les côtés restants sont les morceaux que vous venez de diviser. Et là, Pythagore vous dit que si vous mettez ces morceaux au carré, leur somme sera égale à votre barre de chocolat divisée. Bon, en vrai, c’est un peu plus complexe, mais si on se souvient que tout ça, c’est juste pour savoir à quel point le chocolat est bon, ça passe mieux, non ?
Où Pythagore se cache-t-il encore aujourd’hui ? (pas chez le boulanger)
- Architecture et Construction : pour que les bâtiments tiennent debout et ne ressemblent pas à une œuvre d’art abstrait.
- Art et Design : parce que même les artistes ont parfois besoin d’un coup de main pour dessiner une perspective qui ne donne pas la migraine.
- Sciences et Tech : dans les algorithmes, les calculs précis et toutes ces choses compliquées qui font tourner le monde sans qu’on le sache.
On l’a appris à l’école, mais sérieusement, pour quoi faire ?
Si vous vous demandez encore pourquoi on vous a infligé ça en classe, c’est simple : on voulait que vous souffriez autant que vos parents l’avaient fait avant vous. Mais au-delà de ce rite initiatique, le théorème de Pythagore, c’est un peu comme un vaccin contre l’ignorance mathématique : on l’injecte pour renforcer la logique, même si on sait très bien que la plupart d’entre nous l’oublieront aussitôt le diplôme en poche. Et puis, c’est comme apprendre à faire du feu à l’âge de pierre : ça fait partie de notre culture de survie, même si aujourd’hui on a tous des allumettes et des briquets.
Pythagore, le pote que personne n’a invité à la fête
Moi, perso, j’ai jamais été très fort en maths. Quand je pense à Pythagore, je revois ce prof de math qui me disait que ça servirait plus tard. Eh bien, surprise : ça ne m’a jamais servi. Mais, avec un enfant à la maison, je me dis que peut-être, un jour, je devrais lui expliquer pourquoi ce bon vieux Pythagore mérite au moins un peu de respect. Après tout, ça pourrait être pire. On aurait pu devoir apprendre à jouer de la flûte en plus de tout ça… Ah non, attendez, on l’a fait aussi. Bref, Pythagore, c’est comme la flûte : un petit air qu’on a appris à détester mais qu’on garde en souvenir, juste au cas où on aurait un jour besoin de mesurer un triangle…